J’aime observer le visage de ma fille lorsque je viens la chercher à l’école et que je pénètre dans sa classe, il se crée instantanément une connexion entre nous traduisant un amour pur et inconditionnel.

J’aime ces chansons qui, instantanément, déclenchent en nous une émotion indescriptible. Mistral Gagnant est l’une d’entre elles.

J’aime l’odeur des cordonneries, ce mélange de cuir, de cire et de colle, reconnaissable entre mille, qui évoque en moi instantanément le travail manuel de précision.

J’aime les chansons des vieux crooneurs américains tels que Frank Sinatra, Dean Martin ou Tony Bennett, même si les messages délivrés sont un peu superficiels, elles portent en elles quelque chose d’intemporel qui nous fait voyager.

J’aime Paris au petit matin quand la ville sort doucement de sa torpeur et que les premiers travailleurs commencent lentement à s’activer.

J’aime les chansons de Noël américaines, Dean Martin, Nat King Cole, Elvis et John Lennon, c’est quand même autre chose que Tino Rossi.

J’aime les sapins de Noël, ils apportent un peu de gaieté dans la rigueur de l’hiver et annoncent les fêtes de fin d’année en famille.

J’aime la rentrée scolaire, elle s’accompagne d’une effervescence et d’une douce excitation qui me plongent quelques années en arrière où les seules préoccupations étaient de savoir si on allait retrouver nos copains et qui serait notre prof principal.